Et oui, le monde entier chante!

Je pense que tout le monde a entendu parler de Playing for change, mais au cas où et pour le plaisir de ce partage je vous poste ce magnifique échange entre musiciens all over the world!

Playing For Change est un mouvement créé pour inspirer et connecter le monde à travers la musique, née de la conviction partagée que la musique a le pouvoir de briser les frontières et de surmonter les distances entre les gens. L’objectif principal de ce mouvement est d’enregistrer et de filmer des musiciens qui jouent dans leurs environnements naturels et de combiner leurs talents et leur pouvoir culturel dans des vidéos innovantes qui sont appelées Songs Around The World. La création de ces vidéos a abouti à former le groupe Playing For Change – qui met en vedette des musiciens rencontrés tout au long de leur voyage, et est née la Fondation Playing For Change qui s’occupe de construire des écoles d’art pour les enfants du monde entier. Les membres de Playing for change cherchent à créer de l’espoir et de l’inspiration pour l’avenir de la planète.

Grand programme !

 

SI VOUS AVEZ LA CHAIR DE POULE EN ÉCOUTANT DE LA MUSIQUE, VOTRE CERVEAU EST SPÉCIAL

Par Ronan Tésorière (@RonTesoriere), 04 septembre 2017 
La musique adoucit les moeurs et pourrait soigner la dépression… selon les résultats d’une étude scientifique.

Vous arrive-t-il d’avoir cette sensation en écoutant une chanson géniale ? Sentir tous les poils de son corps se dresser sur son avant-bras… et vibrer à l’unisson de la musique ? A titre personnel, cela peut parfois m’arriver en écoutant l’ouverture de Don Giovanni ou «You’ll never walk alone» de Gerry and The Pacemakers.

Mais en fait, il est très rare et souvent unique de ressentir des sensations comme la chair de poule en écoutant de la musique. Matthew Sachs, ancien étudiant de premier cycle à Harvard, a étudié l’an dernier des individus qui ont frissonné en écoutant de la musique pour voir comment ce sentiment se déclenche.
Cette étude s’est intéressée à 20 étudiants, dont 10 ont admis avoir éprouvé les sensations en écoutant de la musique et 10 autres qui n’ont rien éprouvé. Chacun des deux groupes ayant subi un scanner dans le cadre de l’étude. Ce scientifique a découvert que ceux qui ont une relation émotionnelle et physique à la musique ont en fait des structures cérébrales différentes de ceux qui n’ont rien ressenti.

Cette étude scientifique a montré que les personnes étudiées ayant répondu positivement à la stimulation musicale ont un volume plus dense de fibres qui relient leur cortex auditif et les zones qui traitent les émotions, ce qui signifie en d’autres mots que les deux communiquent mieux. Les conclusions de Sachs ont été publiées sur le site scientifique Oxford Academic, mais il est également cité par le site scientifique Neuroscience le cite.

Vers une thérapie musicale de la dépression ?

L’étude démontre en réalité que si vous avez des frissons à cause de la musique, vous êtes plus susceptible d’avoir des émotions plus fortes et plus intenses. Ces sensations peuvent également être associées à des souvenirs liés à une chanson donnée, qui ne peuvent pas être (heureusement) contrôlées en laboratoire. Bien que l’étude ne porte que su un tout petit échantillon, Sachs mène actuellement d’autres recherches qui porteront sur l’activité cérébrale qui enregistre certaines réactions. lors de l’écoute de chansons. Le scientifique espère apprendre quelles sont les causes neurologiques de ces réactions et pourrait ensuite s’en servir dans le traitement des troubles psychologiques.

«La dépression engendre une incapacité à éprouver du plaisir des choses du quotidien. Vous pourriez utiliser la musique avec un thérapeute pour ainsi explorer les sentiments.» analyse Matthew Sachs. Le scientifique aurait-il trouvé la clef de sol de la dépression. Ses prochaines recherches nous donneront peut-être une réponse.

la parisienne.com

Ce que la voix vous révèle

Pour cette rentrée 2017, un petit rappel d’un bel article sur la voix et les bienfaits du chant.

la-voix-est-notre-complice-et-notre-ennemie

Raymonde Viret entourée d’illustres élèves. De gauche à droite : Maxime Le Forestier, François Morel et Jacques Weber. | Émilie Corbineau

Raymonde Viret, professeure de chant des stars, l’affirme. Il faut revenir à l’enfance pour trouver sa voix.
Raymonde Viret, professeure de chant, auteure de Trouvez votre voix.

Notre voix nous appartient-elle ?
Elle crée le contact avec les autres. Dès que nous l’utilisons, elle ne nous appartient plus. Parler, chanter, c’est jouer du corps de l’autre. Notre voix véhicule autant de messages que d’émotions.
Est-elle une véritable alliée ?
Elle est notre complice, mais parfois notre ennemie. Elle nous raconte, révèle notre identité. Si vous saviez tout ce qui s’accouche dans ma salle de musique quand on travaille sur la voix. Enfin, elle a ce côté irrévocable. Le son émis ne se rattrape pas. Pas de retouche, ni de reprise, ce qui est dit est dit.
Et sa mécanique est méconnue
De nombreux chanteurs, comédiens, professeurs, avocats, pour qui la voix est un outil de travail, en ignorent tout. La voix, c’est un corps-instrument à connaître pour la comprendre et la maîtriser.
Vous dites que la voix doit venir des tripes…
Parce que c’est d’abord un cri primal, celui que pousse le nouveau-né en sortant du ventre de sa mère. On crie avant de voir. Le bébé descend son diaphragme, laisse sa cage thoracique ouverte, sort son ventre, ses fesses s’ouvrent, son cri part du bas. C’est ce mouvement-là que l’on doit retrouver. La vraie voix, c’est bien une histoire de tripes, pas de cordes vocales. Tout se passe en dessous de la taille. Je dis souvent que ce qui est au-dessus n’est qu’orgueil.
Trouver sa voix, cela a quelque chose d’animal ?     Oui, c’est bestial! Vous savez, quand Princesse Erika travaille sa voix, c’est une panthère en face de moi. J’aimerais que chacun puisse retrouver l’ampleur de cette voix que nous avons tous eue. Les enfants l’ont jusqu’à l’âge de 6 à 7ans. Avec la croissance, le stress, elle disparaît. On verrouille tout et il faut parfois travailler longtemps pour faire de nouveau pénétrer et circuler l’air là où il n’allait plus.
Et quand on n’aime pas sa voix ?         La voix que l’on n’aime pas, c’est peut-être celle que la vie, le regard des autres a fabriquée. Pas l’originale. Un exemple: nombreux sont ceux qui ne chantent pas, même sous la douche, parce qu’on leur a dit qu’ils chantaient faux. Que c’est traumatisant! Retrouver ce plaisir de chanter, de parler en partant du bas, c’est aussi une façon de devenir soi-même. Comme le bébé, crier spontanément pour dire qu’on est là et qui on est.

Publié le 28/04/2016 Ouest France Valérie PARLAN

Bienvenue sur le nouveau site des voies du Chant!

Bonjour!

Les voies du chant ont fait peau neuve pour leur site. Vous êtes invités à découvrir ou re-découvrir Les voies du chant et son animatrice fantastique Sophie Grenier.

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A très Bientôt

 

 

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